Madame bovary
L a nature de l’intrigue
L’intrigue par définition est l à façon dont l’auteur raconte ou encore l’enchaînement des faits et d’action constituant une œuvre de fiction et notre récit commence où le nouvel élève fait son entrée dans la salle d’étude et finit par la mort de Charles. Une étude profonde de notre récit montre que le r rythme est ralentit car rien ne laisse le narrateur indifférent ou rien ne l’échappe même pas l’attitude villageoise du nouveau élève ou encore son incompétence professionnel, ainsi que la description de la route ou des mariés le jour du mariage. Il en est de même pour l’attitude effrénée de Rodolphe ; le narrateur ne raconte pas de façon hasardeuse, mais s’attarde à l’attitude ironique de Rodolphe face à EMMA BOVARY. Par exemple : « oui ! Tant de choses m’ont manqués si j’avais eu un but dans la vie si j’eusse rencontré, quelqu’ un oh ! Comme j’aurais dépensé tout l’énergie dont je suis capable »
De prime abord, le narrateur emploie l’imparfait en occurrence dans le récit tels que’’ étions’ portait, avait, apercevait ayant ainsi pour rôle la description des évènements car ici il décrit comment était le nouveau élève d’autre part nous avons le passé simple tels que entra réveillèrent leva fit fut servant a raconté l’histoire ou l’évènement l’agencement de ces deux temps dominant dans notre œuvre harmonise notre récit de plus on constate que le narrateur ralentit le rythme
De plus nous avons les indicateurs de lieu dont nous pouvons citer entre autre étude l’angle’ derrière ‘la porte ainsi que les indicateurs de temps a savoir a deux heures à douze ans ces indicateurs spéciaux-temporaire rendent notre récit non seulement plus explicite mais aussi mouvant