1. L’analyse de l’histoire de la pensée économique reste aujourd’hui un débat ouvert. Sur le plan mondial, les développements économiques sont l’une des préoccupations majeures des économistes, des décideurs politiques et de la population en général.
Des lors, force est de constater qu’il y’a un réel passage de la macro au micro.

Plusieurs arguments peuvent être développement sur l’origine de ce passage :

- L’éco contemporaine cherche à s’intéresser de moins en moins au fonctionnement d’ensemble des systèmes sociaux.
- L’essor de la microéconomie peut être expliqué par l’effondrement du concurrent socialiste. On note un rejet de certains aspects dans les errements du « laisser-faire ».
- Le marché est devenu omniprésent et occupe une place centrale dans le développement de l’activité éco au détriment du système social. Pour les acteurs individuels et rationnels, il y’a un changement au niveau du comportement et du vocabulaire. - Il est question aujourd’hui d’introduire de nouvelles problématiques, préoccupations dans la compréhension, dans l’analyse et dans l’évolution des choix économiques au niveau individuel. -Donc il faut éviter le vocabulaire qui remet en cause la rationalité individuelle et ne s’intéresser seulement aux sujets tels que la question d’incitation, flexibilité, d’anticipation, d’efficience.
Ces acteurs cherchent à maximiser leurs satisfactions et à minimiser l’effort (hédonisme : la recherche du plaisir) même si les questions de chômage et de pauvreté demeurent toujours.

Finalement, on peut retenir que l’analyse éco s’intéresse de plus en plus aux outils de la microéconomie. Les économistes contemporains sont prêts « à tous les mixages » avec les autres écoles de pensées et ils n’hésitent pas à emprunter dans la boite à outils de leurs voisins Keynesiens (ex) ou monétaristes (ex). L’essentiel étant que l’outil soit efficace.

2. L’orthodoxie : Désigne le fait d’être conforme aux idées admises et imposées par une