Il parait que les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Il y a des jours où je me demande si je ne revis pas la même situation ! Fin toute situation inhabituelle…
Etouffé par un ennui qui envahit mes sentiments bien plus que mon expérience. Je trouve refuge dans mes souvenirs. Car l’ennui tendra toujours à diminuer, lorsque les souvenirs tendent à s'amplifier.
Dans ma chambre. Au creux de mon lit humide, je contemple un calice à moitié vide. Au-delà de ces histoires de psychanalyse, concernant le pessimisme et l'optimisme. Je divague momentanément pour me trouver laminer plusieurs bidules dans ma tête, tous différents les uns les autres, malgré mes efforts pour lutter contre, je ne fais que m’enfoncer dans les plus cruels et les plus profonds. Finalement j'ai usé de la seule voie, celle de me soumettre à ma prédestination. Pour que ça prenne le courant de mes nuits fauves. Des nuits sensuelles pleines de fantasmes agrégés par une parfaite entente sexuelle. Des nuits que je passais avec des X et des Y.
Pour quelques-uns de ces X, je suis Mao. Jeune homme avoisinant les vingtaines d'années, très souriant, assez mignon et séduisant. Pour d’autres, je suis une source d’inspiration ou d’évasion tout simplement. Je peux même affirmer que chacun de mes X, trouve son vrai plaisir en ma compagnie. Et pour ceux qui ne me connaissent pas, je renvois toujours une image floue à éclaircir.
Faire de nouvelles rencontres, me transmet souvent une très bonne décharge d’adrénaline. Et c’est cette décharge qui me pousse à m’impliquer plus. C’est une affaire qui me permet une profonde inspiration, en découvrant les gens. Et vivre une variété d’expériences, car la maturité exige une variété.
AZHAR ! Une expérience que je n'oublierai jamais. Les évènements de cette anecdote remontent, à un certain jeudi soir, j’ignore complètement l’année. Ce soir, d’un air jovial, très désireux de faire plaisir à mon partenaire. Je me déshabille alors à moitié, je garde mon