Ma grande vie !
_ Hein ?!
_ Réveillez-vous, nous venons d'atterrir.
_ Oh ! Merci ! M'exclamais-je à l'hôtesse qui venais de me tirée de mon long sommeil, ( voyez cette phrase comme un euphémisme, je venez à peine de réussir à m'endormir au boue de onze longue heures d'avion ! ) croulant sous la fatigue et avec mon élégance naturel, je me levais en me prenant la soute de baguages dans la tête ( Oh sa va ! C'était une bonne journée aujourd'hui ... ) mais je n'avais pas le temps de me plaindre vu le regard sévère que me lançait l'hôtesse qui se tenait droite comme un pique en attendant que je sorte de l'avion. Ce que je fis, il fallait que je respire de ''l'air'' ! J'en avais vraiment besoin.
Rester enfermé dans une ''pièce'' pendant des heures et sans bouger, c'était pas mon truc. Pourtant à peine être sortie de l'engin que je m'arrêter net.
Sous mes yeux se déroulez la même scène que j'avais vécu deux auparavant, je voyais ces gens qui couraient partout pour rejoindre une nouvelle destination, et qui sais, comme moi peut-être, une nouvelle vie, d'autre qui pleuraient dans les bras de leur porche, enfaite j'aimais beaucoup aller regarder les trains qui partent, à la gare de Paris à cause de l'émotion, c'est un truc que j'aime bien, voir l'émotion des gens, c'est pour ça que je ne rate jamais les matchs de foot à la télévision, j'adore quand ils s'embrassent après les buts, ils courent avec les bras en l'air et ils s'enlacent, et puis aussi Qui veut gagner des millions, il faut voir les filles quand elles donnent la bonne réponse, elles mettent leurs mains devant leur bouche, renversent la tête en arrière poussent des cris et tout, avec des grosses larmes dans les yeux. Dans les gares, c'est autre chose, l'émotion se devine dans les regards, les gestes, les mouvements, il y a les amoureux qui se quittent, les mamies qui repartent, les dames avec des grands manteaux qui abandonnent des hommes au col relevé, ou l'inverse, j'observe ces gens