Le cas « Là où il y a du sucre, il y a des fourmis » se développe au sein d’une chaîne de grands magasins renommés du nord de la Californie. Cette chaîne de magasins possède plusieurs départements, lesquels fonctionnent en tant que centres de profit indépendants, gérés par un acheteur principal chacun. (Ça concerne un point important de la théorie de Fayol, par rapport a la répartition de la fonctionne administrative aux employés, parce que dans le cas exposé, les acheteurs ont beaucoup de responsabilité et pouvoir de décision a l’intérieur de chaque département) Le département d’épicerie fine et gastronomique est en charge de l’acheteuse Maria Castellani, et Sarah Goodwin travaille en tant que son assistante. Ce département vend des produits de luxe, souvent offerts en contenants-cadeaux très appréciés et recherchés par les clients.

Est-il problématique ou descriptif?
Le cas est problématique. La problématique principale concerne une cargaison de biscuits provenant de l’Angleterre, qui après être vendus aux clients, une partie d’entre eux ont rapportés que les biscuits étaient infestés d’insectes. L’entreprise n’est pas capable de vérifier l’état des biscuits restants sans enlever le papier d’emballage. De plus, le fournisseur n’a pas pris de responsabilité sur le sujet parce qu’il est impossible de savoir en quel moment les biscuits ont pris les insectes, donc, le magasin doit assumer tout le coût. Alors, Maria a décide de retirer du marché la totalité des biscuits restants, en les vendant à une chaîne de dépanneurs du Sud de la Californie, qui faisait des affaires avec les quartiers défavorisés.

Les causes de cette problématique sont :
1. Un manque de contrôle de la qualité des produits pendant toutes les étapes du processus, ce qui fait preuve d’un manque d’application du contrôle, concernant la théorie de PODC.
Premièrement, l’entreprise a acheté les biscuits au fournisseur en Angleterre. Comme le département vendait produits avec des emballages