lowry
Cet essai va traiter de deux textes assez intéressants de science politique. Le premier texte est écrit par M Webber, et son titre est «Le métier et la vocation de savant», Le savant et le politique. Le second texte quant à lui s’intitule « Science et révolution: objectivité et point de vue de classe dans les sciences sociales», Dialectique et révolution. Ces textes traitent tous les deux de la question de la neutralité en science en générale. C’est pourquoi je vais exposer tout d’abord le point de vue de M. Webber et puis l’argumentation qu’il use afin de fonder ces propos. Par la suite, je vais dépeindre les arguments et aussi le point de vue de M Lowry en ce qui concerne cette même question qui cherchera savoir si le concept de neutralité en science a toujours de la valeur. Enfin je terminerais avec un commentaire critique dans lequel je donnerais mon propre opinion sur la question.
Dès le commencement de son texte du le texte de M Webber, l’auteur se pose la question à savoir s’il existe une science sans présupposition, sans jugement, ni valeur, ni connaissances culturelles. Selon Webber, il est possible de faire de la science sans présupposé. Il faut savoir que pour lui, il n’y a pas vraiment de différence entre les différentes sciences. C’est-à-dire qu’elles ont toutes la même crédulité. Webber les utilise toutes deux dans différents exemples pour fonder son raisonnement de départ. Ce que les sciences sans présupposition ont en communs c’est la validité et la méthode. C’est deux éléments doivent s’appliquer impérativement dans une science pour connaitre la vérité. Webber explique cependant qu’on ne peut pas se détacher de nos présupposés. Elles varient d’un individu à un autre, et c’est elles qui détermine souvent l’objet ou parfois