Lolilol de la life wesh
La première fois, c’était dans le désert d’Algérie, à Ouargla. L’homme marchait, avec son compagnon, dans une tempête de sable sous une chaleur intense, quand soudain, il entendit des bruits de tambour. Un des arabes qui étai(en)t(sujet un) avec lui, dit que la mort était sur eux. Tout à coup, son compagnon mourut, foudroy(é) pas une insolation. Ce jour là, il comprit ce que c’était que d’avoir peur.
La deuxième fois, il le suT mieux encore. C’était en hiver, dans une forêt du nord-est de la France. Ils devaient, lui et son guide, couchER chez un garde forestier. Le garde avait tué un braconnier deux ans auparavant, et, depuis ce temps, le fantôme du braconnier revient chaque année l’appeler. Dans le courant de la nuit, le chien du garde s’éveilla brusquement et se mit à renifler les mur(e)s(mur pas mure) de la pièce et à hurler sur quelque chose d’invisible. On jeta donc le chien dehors, dans une petite cour. Soudain, tous ceux qui étaient dans la maison, sentirent quelque chose frôler le mur et une tête blanche apparut contre la vitre du judas. Le garde tira avec son fusil et ses deux fils bouchèrent le judas. Le lendemain, en ouvrant la porte, le chien gisait, la gueule brisée d’une