Loi formation au québec
Introduction :
Étant désormais confronté à une expansion grandissante de la mondialisation des marchés, il est maintenant crucial que les entreprises québécoises se tournent vers la qualification de sa main d’œuvre afin de demeurer compétitives dans les différents secteurs industriels.
Au Québec, le gouvernement a mis en place la Loi favorisant le développement et la formation de la main d’œuvre qui exige des entreprises qu’elles investissent au minimum 1% de leur masse salariale en formation. Le présent essai va donc porter sur cette Loi et définir le profil actuel de la formation en entreprise au Québec. L’analyse portera également sur différents secteurs industriels au Québec ainsi que des écarts en ce qui a trait à la grandeur des organisations.
Il faudra donc évaluer si les mesures prisent par le gouvernement favorisent la formation au Québec. Je devrai également définir si des actions et des programmes incitatifs sont préférables à des mesures coercitives.
Développement :
Tout d’abord, il est important de savoir que malgré la mise en place d’une Loi obligeant les organisations à investir dans la formation de leurs employés, il n’est pas possible pour toutes les entreprises de s’y conformer. Lorsqu’une entreprise refuse de s’y conformer, elle doit verser la sommes de 1% de sa masse salariale dans le Fonds national de développement de la formation de la main d’œuvre. En effet, l’incertitude de la conjoncture économique et la vulnérabilité financière de la plupart des petites et moyennes entreprises expliquent la difficulté de mettre en place un programme de formation continue dans leurs entreprises. Il est difficile d’évaluer la rentabilité à court terme de la formation, et dans un contexte économique vulnérable, il est parfois impossible pour des petites entreprises d’investir et de s’impliquer dans la lourdeur administrative qu’engendre le suivi de tels programmes de formations. On examine donc qu’il est plus