Lobbying européen
Plan :
1- Typologie des différents groupes de pression
But : les chiffres + quelque exemples de lobby européen
Sur la base d'une dernière étude sur la pratique du lobbying européen du Parlement européen, on recense environ 3 000 groupes d’intérêts, acteurs de l’Union européenne.
▪ 600 concernent les régions même s’ils ont un faible pouvoir en raison du fait que les négociations passent par les États. ▪ On compte également 500 fédérations européennes ▪ 200 groupes représentent des entreprises. La plupart des grandes entreprises ont des antennes individuelles à Bruxelles (EDF, Renault, Veolia Environnement, Lafarge).
Les associations communautaires correspondent à 32 % des groupes de pression, les bureaux de conseil 17 %.
Sont représentés également les avocats, régions, organisations environnementalistes, organisations internationales… Ces lobbies font ainsi part d’intérêts particularistes sectoriels ou interprofessionnels comme de l’intérêt public en intégrant la société civile.
Quelque 20 000 lobbyistes se retrouvent face à 15 000 fonctionnaires européens.
(À DÉVELOPPER)
2- La trop forte influence des groupes de pression au niveau européen
Commission fait appel aux experts des groupes intérêts car elle n’est pas capable de produire des expertise (nucléaire)
III- Les lobbys industriels mettent en danger la démocratie à l’inverse des lobbys de la société civile
Tout d’abord, il faut savoir que la tradition rousseauiste considère le lobbyisme comme étant l'expression d'intérêts purement particuliers et menaçant l'intérêt général que seul l'État peut arbitrer.
De manière générale, les lobbys économiques et industriels européens sont en majorité. En effet, 82% des groupes d’intérêt appartiennent aux organisations professionnelles des employeurs et des syndicats. De facto, les lobbys industriels possèdent une réelle force et un poids