Littérature
Portrait grotesque de Socrate « tant lourd il était de corps », « le visage d’un fol », « le regard d’un taureau », « rustique son vêtement » (portrait physique)
« Simple de mœurs », « malheureux en amour », « infortuné au regard de l’argent » (moral)
Portrait péjoratif => paradoxe= éloge « mais », « tjrs riant », « tjrs près à trinquer » (vin)
Socrate = un bon vivant comme lui. Sagesse = ps de dépendance matérielle, ne ps dépendre des accidents du destin => forme de détachement.
* Dépasser la condit° humaine « veiller, courir, travailler, basaner, navigué, guerroyé » * Cadre vicieux
Les titres ouvrages : il dit que le titre est seulement un « écriteau », proverbe médiévale = « l’habit ne fait point le moine ». Titres réels = « Gargantua », « Pantagruel », titres imaginaires = « des pois au lard », fessepite », « de la dignité des braguettes »
II- le lecteur comme le chien devant l’os à moelle
Camp mythologique= les sirènes, un récit amusant= séduction mais aussi détourne du droit chemin.
Comparaison œnologique= la bouteille de vin = le livre est un bon vin qu’on débouche.
La substance moelle = comparaison familière + référence à Platon, la République de Platon (argument d’autorité). Rabelais fait une observat° quasi- vétérinaire « si vous l’avez vu… il le suce ». + ref à Galien-Médecin Romain traduit par Rabelais.
Ces images de la substantifique du moine nous rappelle que le livre ne se livre pas facilement. Substantifique : riche, danse, essentiel à la vie (terme probablement inventé par Rabelais). Cf : « quintessence » => l’essentiel différent de la lecture passive => lecture active = combat avec le livre = « légers à la poursuite », « hardis à l’attaque » (cf la guerre). *