Littérature du nord
La littérature Belge :
Bertrand, Biron, Denis et Grutman se demandent comment ériger un ensemble littéraire belge. Ils désignent la littérature belge comme « un objet complexe et fuyant ». La littérature belge est tournée vers la France et davantage vers Paris.
Après l’ère napoléonienne elle subie de nombreuses influences qui justifie la question suivante : une littérature autonome qui marque sa spécificité ?
Henri Pirenne (historien de la littérature belge) affirme que la création du royaume de Belgique prend sa source au M.A. Le patrimoine littéraire est ressenti par Pirenne comme nationaliste. La litté belge est classée par Pirenne comme une branche de la litté française : « une expression régionale de la litté française dans son 1er ouvrage sur la littérature belge.
En 1858 Charlier et Hanse indique que la langue belge est un régionalisme de langue française.
La 2ème thèse souligne une création factice et sans réelle validité, la 3ème défendue par l’historien Stengers s’appuie sur les représentations collectives à travers lesquelles ce sentiment national est perceptible au XVI : c’est l’état qui conditionne ce processus d’adhésion nationale. Ce germe de sentiment national apparait des le XV.
Pour Denis et Klinkensberg dès 1815 apparition d’éléments nationaux dans la littérature. Parallèle entre la construction d’un état et cette la littérature.
La Belgique : 2 communautés linguistiques (flamand et wallon), elles montrent la frontière de la latinisation des textes. A partir de 1839 : revendication de la langue flamande (alors que depuis longtemps le français était la seule langue).
En 1980 fédéralisation de l’état belge et reconnaissance de la langue flamande.
Les écrivains sont extrêmement impliqués dans la politique du pays. Au XIX la langue flamande n’était pas une langue d’écriture.
Dans la 2ème moitié du XIX : qu’est ce que la littérature belge ? L’écrivain belge serait comme un écrivain du Jura ou d’une autre région de France