Litteraire
La dedans l'auteur traite de la conscience et de l'inconscient, des pensées enfouies et des pensées claires. En gros, exemple philosophique: l'iceberg. La partie hors de l'eau qui est toujours la plus petite, représente la conscience, et la partie immergée (+grande) représente l'inconscient, composé de désirs refoulés, déraisonnables, envies, passions que l'on ignore, c'est le Ca qui pense en moi et que je ne peux atteindre.
La première partie donne des images pour illustrer un principe :
>
Typiquement deux grandes phases :
- Nos pensées clairement formulées, c'est la conscience.
- Nos pensées confuses et structurelles qui envoient des vagues à la surface, ce qu'on appel souvent (et à tord) l'inconscient.
La deuxième partie pose la question du mécanisme qui agite (fait fonctionner) les pensées, l'auteur ici balance sans explications que ce qui fournit l'agitation est >.
le probleme : de cet element aussi important de notre vie a tous que sait on ?
> sait on comment il fonctionne ou du moins quels sont les principaux mecanisme?
> qUELLES EFFETS ONT CES MECANISME?
> quelle place prennet ils dans notre vie?
je pense que je vais mettre la definition de la pensée et elle est associé au celebre cogito ergo sum de descartes
> que la pensée est confond à la conscience
la definition de la pensée selon kant
puis je developpe sur conscience et inconscient
Les philosophies de Schopenhauer et de Bergson, comme d’ailleurs celle de Nietzsche, parlent d’une réalité qui se trouverait derrière des apparences utiles à la pratique. Dans les trois cas, cette réalité est désignée en termes de volonté. On aurait donc affaire, chez Schopenhauer et chez Bergson, à deux « ontologies de la volonté ». Mais il reste à savoir ce que les deux auteurs entendent par « volonté ». Deux différences majeures