lilwayne9
L’illusion comique a été écrite en 1635 par Pierre Corneille, écrivain du XVIIème siècle , Cette piece connaît un grand succès à cette époque Cette pièce est à la rencontre de plusieurs genres théâtraux Corneille le dans le prologue : «Le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants font une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie» En réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie Champs lexical de l'obscurité _ "sombre", "ombre", "éclat douteux", "le voile épais" __ METAPHORE (idée d'un lieu qu'on ne peut pas voir).
"n ouvrant son voile qu aux rayons...", "n admet en ces lieux sombres que ce qu en peut souffrir" = TOURNURE RESTRICTIVE.
Cela montre que l'obscurité a plus de poids que la lumière. b. lieu inquiétant "funeste" = qui cause la mort, le malheur.
"le commerce des ombres" = commerce des esprits, etc...
(V.12) "sur un peu de poussière, étalent mile morts" = hyperbole
(V.11) Bords et rempart, donnent une impression de frontière.
(V.9) "cette large bouche" = métaphore _ coté monstrueux __ REGISTRE FANTASTIQUE _ "mur invisible".
(V.7) "n avancez pas" = injonction, ordre... __ "Il perd qui l'importune, ainsi que qui l'offense" 1 2 3 4 5 6 1 2 3 4 5 6 == PARALLÉLISME
Le parallélisme de la syntaxe donne une l’impression d'une lois. Cela semble être une mise en garde sérieuse. Le mage semble avoir une vie stricte. c. La grotte une métaphore du théatre "voile invisible" = rideaux de théatre
"mur invisible" = scène séparée du public
"la nuit" "faux jour" = les lumières du théatre Dans cette scène d'exposition, Corneille nous dévoile un