Lettre à rousseau
Rousseau.
Mardi 12 juillet 1764
Monsieur,
Suite à vos dernières déclarations au sujet des mal faits des fables aux enfants, en particulier les miennes, j’ai personnellement pris la décision de vous rétorquer car vos idées sont insensé et irrationnelles.
Tout d’abord, vous dites que mes fables sont mauvaises à dessein de leur mal compréhension par les enfants car ils, selon vous iraient au contresens de mon désir et que, de plus, ils pourraient avoir des mauvaises pensées.
Or, tout cela est, bien entendue, faux puisque c’est en voyant le mal que les enfants découvrent le monde et c’est eux-mêmes qui trouveront les leçons a en tirés, certes ils s’identifieront et prendront le meilleur, le plus fort des personnages mais ils sauront très bien en tirer bonne leçon
Ainsi, vous rajoutez que ces sont mes morales qui font partie de ces cause cependant c’est impossible que cela ce produise car je n’ai jamais mis de morales dans mes fables, en effet il n’y a que la moralité qui y est présente et pas toujours, ces d’ailleurs aux enfants de trouver la morale.
C’est du reste comme ça que je conclus ma réponse, qui, je l’espère vous a convaincue car les Fables sont vraiment des outils d’éducation très efficaces pour l’apprentissage de bonnes manières. Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes salutations les plus distinguées.
La