Lettre à Monsieur Descartes
Le 17e siècle, dans lequel vous avez vécu, est une période marquée par le développement de la science. Les idées n’étaient plus formées sur des hypothèses, mais bien sur des expérimentations, ce qui a révolutionné la philosophie à ce siècle. Le rationalisme est aussi un point important des années 1600, car l’homme avait maintenant la capacité de penser par lui-même, et donc de comprendre ce qui l’entoure. Cette autonomie révolutionnaire pour l’homme caractérise cette période comme le siècle de la raison. Votre réalité à ce siècle était bien différente de la nôtre, mais je crois tout de même que votre distinction entre l’homme et l’animal est valable et s’applique pour nous aussi aujourd’hui en ce qui a trait aux compétences et à la rationalité de l’homme. Je vous présenterai donc quelques-unes de vos idéologies pour ensuite vous partager ma vision personnelle du sujet.
Après avoir appris davantage sur votre important passage dans le monde de la philosophie, je constate que l’homme se distingue de l’animal de par ses compétences. L’homme possède des facultés que lui seul ne possède, comme la parole et la pensée. On pourrait penser que les animaux ont aussi des pensées quand on pense par exemple à un chien qui ramène la balle à son maître, mais nous devons savoir que cela n’est que le résultat de leur passion, comme vous l’avez mentionné dans la lettre au marquis de Newcastle. Ce n’est pas un hasard que l’homme puisse parler et faire des gestes pour s’exprimer, c’est qu’il possède ces compétences innées, et même s’il devait en être privé, comme un muet, l’humain développerait alors d’autres moyens pour pouvoir s’exprimer, dans ce cas-ci, les gestes ou l’écrit.
De plus, la distinction entre les deux sujets est bien évidente, encore aujourd’hui, car l’homme a des obligations contrairement aux animaux. L’humain est contraint de respecter des lois et d’agir selon certains principes rationnels, car il est doté d’une raison. L’animal, lui,