Les émotions dans la communication
Les émotions jouent un rôle primordial dans la transmission et l’assimilation du message publicitaire. Pour provoquer des émotions qui vont permettre de mieux retenir une publicité donnée, il faut inscrire celle ci dans le passé afin de faire appel à des souvenirs, et dans le futur afin d’affecter le consommateur au moment de l’achat postérieur potentiel. Une pub ne peut être visionnée sans aucune émotion, et le consommateur touché par celle-ci ne va pas la percevoir de la même manière s’il est dans une position émotionnelle positive ou négative.
L’important est donc de déclencher des émotions positives, et de glisser un signe distinctif de la marque (logo…) sans donner l’impression de faire du matraquage, afin de transmettre une image positive de la marque, du produit ou du service.
Une publicité efficace va être l’activateur d’un besoin qui existait déjà en puissance chez le consommateur.
Quelles sont les limites de l’utilisation des émotions choc par les publicitaires ?
Submergés par des centaines de messages publicitaires, écrasés sous la pression des marques et de leurs adeptes asservis, les habitants des pays « développés » ont acquis au fil de ces dernières années une capacité surprenante à passer outre ces flots d’informations inutiles et aliénantes qui jonchent leur quotidien tels d’énormes flaques de boues giclant devant les yeux sensibles d’une population qui n’y peut plus voir clair.
Se démarquer parmi une tel prodigalité de publicités n’est pas chose aisée, c’est pourquoi nous avons vu naitre un phénomène singulier dans le monde de la communication, consistant à faire appel aux émotions, et ce, à des degrés différents, allant de la ménagère heureuse de voir son parquet scintiller jusqu’à l’adolescent saoul déchiqueté par la violence de l’accident provoqué par son trop fort taux d’alcoolémie sanguine.
Cependant, il est important de discerner la communication qui se fait autour de simples produits de