Les tendances de la délocalisation
• soit de coûts plus bas (main d'œuvre peu coûteuse, meilleur accès aux ressources naturelles, fiscalité et réglementation plus attractives) ;
• soit d'un pôle de compétence technologique, ou du moins de personnel compétent ;
• soit d'infrastructures mieux adaptées ou d'un environnement plus attrayant ;
• soit d'un marché local assurant des débouchés plus vastes ou intéressants.
La Crise financière commencée en 2008 et qui persiste jusqu’à ce jour a une influence négative sur l’économie mondiale et plus particulièrement sur l’industrie surtout dans les pays développés tel que les États-Unis de l’Amérique et la France. Les présidents de ces pays sont inquiets à cause de la délocalisation de l’industrie telle que le secteur d’automobile dans des pays émergent. Cela va induire de perte d’emploie dans leurs pays et par conséquence l’augmentation de taux de chômage.
Les entreprises de grand poids sont devant un choix important, soit investir à l’ étranger dans des pays de forte croissance ayant des avantages compétitifs , soit perdre leur part de marché et disparaitre . Ainsi , la délocalisation reste la solutions idéale pour assurer une pérennité à l’entreprise par la recherche de nouveaux marché à fort potentiel , ou la recherche de couts plus bas et ainsi adapter une stratégie des prix agressive qui permettra aux entreprises de vendre plus et gagner des nouveaux part de marchés.
Le focus des multinationales cette période c’est surtout les pays émergents le BRIC (Brésil, Russie, Inde et la chine) ou la croissance de PIB est de deux chiffres malgré la crise mondiale, et on ne doit pas aussi oublier les pays de l’Europe central et oriental le PECO . Ce genre de pays garanti une attractivité bénéfique aux entreprises via deux facteurs cruciaux, cout de production plus compétitif et demande