les risques financier dans l'entreprise
Risque de taux d’intérêt
Il s’agit d’un risque qui fait planer une grande part d'incertitude sur les résultats de l’entreprise. On évoquera donc, notamment :
Le risque des pertes-emprunts : c’est le risque que les taux des crédits progressent dans un sens défavorable. Par exemple, si vous empruntez à un taux variable, vous courez automatiquement un risque de taux (cas d’augmentation du taux), puisque vous serez obligé de payer plus cher. Et inversement, si vous êtes prêteur, le risque que vous courez s’impose en cas de baisse des taux, puisque vous perdrez automatiquement des revenus.
Dans le cas d’un établissement bancaire, on évoquera surtout le risque encouru dans le cas où des taux du marché évoluent dans un sens menant à un coût de renumérotation (dépôts dépassant les gains résultant des intérêts des prêts accordés).
Le risque « capital » : Toute structure professionnelle est un portefeuille d’actif représentant, plus concrètement, un ensemble des titres financiers (de capital ou de créance).
Risque de change
On parlera de ce type de risque dans les cas où la structure procède à une opération, usant une devise différente de sa monnaie nationale.
Il s’agit donc d’un risque évident directement lié aux fluctuations des cours des devises internationales entre elles, et indirectement lié au facteur temps. L’autre facteur capable d’influencer ou d’induire ce risque ; la précarité et la stagnation des différents marchés de changes.
Etant donné la nature « inévitable » du risque, la solution serait de se restreindre dans une gestion passive, se contentant simplement de subir ce risque (cas de la plupart des entreprises). Mais une solution plus active serait plutôt de chercher à se prémunir contre le risque (change défavorable), tout en tirant profit –si possible (change favorable).
Risque de contrepartie
C’est un risque qu’encourt l’entreprise lorsque ses partenaires deviennent défaillants (de manière temporaire ou permanente).