Les remake en photographie
Pour autant encore de nombreux photographe comme Jeff Wall ou Gérard Rancinan puisent leurs inspirations dans l’histoire de l’art et conçoivent des «remakes» de Chefs d’oeuvres de la peinture.
J’étudierais alors comment ces artistes réintèrprète l’histoire dans leur oeuvre. Tout d’abord je verrais que ces «remakes» vont plus loing qu la simple copie et ensuite qu’ils sont en réalité un reflet de l’époque dans lequel ils ont été créer.
Pour appuyer mon propos, j’ai choisie «destroyed room» de Jeff Wall, «Heaven to Hell» de David LaChapelle, «décadence» de gérard Rancinan et «Crane et Dali» de Halsman, ce dernier sort un peu du lot car il s’agit d’une photo bien plus ancienne et ce n’est pas un remake d’une peinture en particulier mais d’un genre: les vanitées.
IPlus qu’une copie.
En effet malré leurs «statut de »remake», ces photographies sont une réintèrprétation originales de l’oeuvre traduisant le style propre à son auteur quand à la composition, la lumière, le traitement...
Par exemple, Heaven to Hell de LaChapelle représentant la cène du christ, On reconnait bien les obsessions de l’artiste, son style très kitch et publicitaire traitant un thème biblique de manièrte vulgaire, l’image est très saturé en couleurs. David LaChapelle sur cette photo provoque désacralise l’image religieuse.
De mème que Destroyed room de Jeff Wall, remake de la victoire de Sardanapale, la photographie à finalement peu de chose à voir avec le chef d’oeuvre d’Eugène Delacroix. Sur la photo de Jeff Wall, les personnages ont disparu laissant juste un désordre soigneusement orchéstré par le photographe. La composition est