Les pratiques sportives
2 Georges Hébert, Le Code de la force, Paris, Vuibert, 1941 (1e édition 1910), p. 41. Cité par Philippe Tétart, « Quel genre pour la championne ? Sur la représentation de Suzanne Lenglen (1914-1921) », in volume 2 : 79.
3 On pense notamment à la tenniswoman française Suzanne Lenglen, « la Divine », à laquelle sont consacrés plusieurs articles au fil de ces volumes, ou à la golfeuse Cecil Leicht.
4 La question de la féminisation des chronologies pose d’ailleurs un problème plus vaste, et abordé de manière particulièrement synthétique et stimulante par Françoise Thébaud dans l’introduction au premier volume.
5 Gilles Lecocq, « Entre virilité et féminité, entre idéologies et psychologies : des masculinités sportives se révèlent incertaines », in volume 1 : 351-267.
6 Betty Mercier-Lefèvre, « Pratiques sportives et mises en scène du genre ; entre conservation, lissage et reformulation. L’exemple de la jupe chez les joueuses de tennis », in volume 1 : 369-379.
7 Catherine Louveau et Anaïs Bohuon, « Le test de féminité, analyseur du procès de virilisation fait aux sportives », in volume 1 : 113.
8 Aux Jeux Olympiques de Berlin (1936) l’allemande Dora Ratjen, qui participe aux épreuves de saut en hauteur, est en fait un certain Hermann Ratjen, forcé par le régime nazi de concourir chez les dames pour conquérir une médaille (peine perdue, il finit quatrième !).
9 Stephan K. Westman, Sport, physical training and womanhood, London, Baillière Tinfall & Cox, 1939, p. 12. Cité par Véronique Molinari, « Eugénisme, anti-féminisme et sport féminin en Grande-Bretagne au début du xxe siècle », in volume 1 : 222.
10 Alain Rey (dir.), Dictionnaire historique de la langue française, Paris, Dictionnaires Le Robert, 1998. Cité par Philippe Tétart, op. cit., p.76.
11 Thomas Bauer, « L’engagement féministe chrétien de Marthe Bertheaume », involume 2 : 91-106.