Dans son livre, Jean-Marc Piotte tente de décrire le plus précisément les neuf clés qui apport la modernité. La modernité est une division entre le monde des anciens et celui aujourd’hui. Elles s’opposent à la vision des anciens, qui a formé un univers justifié sur les individus naturellement libres, égaux et rationnels. Cette perceptive a influencé les siècles qui suivent par deux éléments la Renaissance et la Réforme. Ceux-ci permirent l’évolution du monde des anciens à la modernité. La renaissance remet en question l’autorité et la tradition des anciens. Tandis que la réforme détruit les doctrines chrétiennes, confirment que la bible peut être interprétée de différentes façons et que l’individu peut avoir tort. Ces caractéristiques sont la fondation de l’individu moderne. C’est à ce moment que la liberté de conscience et d’expression créent la modernité. Pour bien comprendre la modernité, Jean-Marc a isolé neuf idées principales. La première clé confirme que l’individu est libre de faire tout ce qu’on veut en autant que ça ne vas pas à l’encontre de la loi. Pour les anciens ce n’était pas bien d’être libre. Selon eux la liberté n’est pas une de leur priorité puisque l’individu devait agir fidèlement à l’exigence de l’homme. L’égalité entre les individus fait également partie de la coupure. Cette deuxième clé indique que nous sommes tous munis de raisons qui nous permettent de séparer ce qui est vrai de ce qui est faux. Les anciens, eux, étaient totalement hiérarchiques et croyaient que les individus étaient égaux que relativement à leurs origines, talents et mérites. La troisième définit que la raison est au service de la passion. Au paravent la raison était au service de la norme tandis qu’aujourd’hui la raison est au service de la passion. Les anciens croyaient que l’homme dominait la nature et fessait parti de la création de Dieu. Toutefois, aujourd’hui l’être humain cherche à accomplir des biens. La