Les maximes
Thèmes abordés : la cyberdépendance et les gens qui se plaignent
1. Si l’on passait autant de temps à étudier qu’à jouer à des jeux électroniques, l’intelligence dominerait le monde.
2. Bonjour aux jeux électroniques et adieu à la santé.
3. L’hyper dépendance aux électroniques est l’insouciance de soi-même.
4. Si l’on évalue les électroniques par leurs conséquences, ils se rapprochent plus de la drogue que du loisir.
5. Les électroniques sont nos meilleurs ennemis.
6. S’il n’y avait pas autant de cyberdépendants, Las Vegas serait le plus petit village qu’il n’existe.
7. Nous sommes trop occupés à se plaindre que l’on oublie de profiter de la vie.
8. Si l’on cessait de se plaindre, nous pourrions avancer pour faire changement.
9. On se plaint des autres pour se convaincre qu’on n’est pas à blâmer.
10. Si nous nous plaignons autant, c’est parce que l’on cherche à mettre la faute ailleurs.
Procédés littéraires typiques du genre littéraire de la maxime :
1. La ponctuation utilisée dans les maximes est neutre parce que ce sont des déclarations. Il n’y a pas de place pour une ponctuation expressive puisque aucun jugement en particulier n’est porté.
2. Les pronoms employés dans les maximes sont «on» et «nous» simplement pour généraliser. «On» et «nous» sont des pronoms très généraux, donc qui font référence à l’ensemble des humains.
Procédés littéraires propres à ma création :
1. L’euphémisme «bonjour aux jeux électroniques et adieu à la santé» atténue le vrai message, qui est le suivant : les jeux électroniques peuvent facilement devenir une dépendance, qui est une maladie (la cyberdépendance) et peuvent aussi apporter des problèmes d’obésité, en autre plusieurs problèmes au niveau de la santé.
2. La métaphore «l’hyper dépendance aux électroniques est l’insouciance de soi-même» permet de comprendre que pour prioriser ces jeux par-dessus sa santé, il ne faut aucunement se