Les limites des indicateurs de mesure de l’économie

I. Présentation d’un indicateur de développement humain : le BIP 40

Le BIP 40 est un indicateur des inégalités et de la pauvreté. Cet indicateur est créé en 2002 par des syndicalistes, économistes et statisticiens. Le but est de se faire une meilleur idée de l’évolution des inégalités en ne donnant pas seulement partit à des composantes monétaires. Il est basé sur le travail, le revenu, le logement, l’éducation, la santé et la justice. Ces 6 bases sont ensuite divisées en 58 indicateurs différents. Ces indicateurs se voient attribuer un chiffre, qui est un intervalle de 0 à 10. Un indice élevé signifie une inégalité plus élevés en moyenne. L’indice le plus important est celui consacré au revenu et à l’emploi, ce qui signifie que tous les indices n’ont pas le même poids sur la pondération du BIP 40.
L’indice travail est divisé en 4 indicateurs principaux, dont l’indice relatif aux conditions de travail, l’indice de chômage, l’indice de précarité et l’indice portant sur les relations professionnelles. L’indice revenu est construit sur un indice de salaire, de consommation, des inégalités de revenus et de fiscalité et de pauvreté. L’indice santé est bâtit sur l’espérance de vie en général, l’indice éducation sur le système éducatif et sur les diplômes, l’indice logement principalement sur le poids des dépenses et de consommation des ménages et l’indice justice sur le taux d’incarcération.

II. Prise de position sur la pertinence sociale du BIP 40 par rapport au PIB

Le BIP 40 est beaucoup plus complet socialement que le PIB. Le PIB ne tient en compte que l’activité économique du pays, tandis que le BIP 40 prend beaucoup plus de problématiques. Au niveau social, le BIP 40 représente beaucoup mieux la réalité. En effet, un pays peut se porter très bien financièrement mais avec un BIP 40 déplorable suite à des hygiènes de vie et des écarts qu’il peut y avoir entre différents secteurs sociaux. En prenant