Les justes acte ii
I/ Kalianev un terroriste engagé mais sensible
Ivan n’a pas pu lancer la bombe. Il est accablé.
1) Engagé
« Je voulais me tuer », « Si vous décidez de tuer ces enfants », « Décidez seulement, j’obéirai à l’Organisation », « Je pars », « J’ai honte de moi », « Frères, pardonnez moi » « je pensais que je vous devais des comptes », J’étais heureux », « mon cœur s’est mis à battre de joie », « J’avais envie de bondir », « Je crois que je riais », « Et je disais « oui, oui » »
→ homme engagé dans l’organisation terroriste, homme heureux de faire l’attentat il est prêt à se punir, prêt à se tuer pour l’organisation, homme triste, accablé.
2) Sensible donc divisé
opposition : « Peur, non » et « Des enfants des enfants surtout. »,« Je n’avais peur de rien. De rien au monde sinon de tuer un enfant. », « Oh non ! Je n’ai pas pu ! » opposition entre les comportements : « Je crois que je riais » / « Ils ne riaient pas eux », « ils avaient l’air triste » « Je n’ai vu qu’eux » → homme pas borné
Une peur : « mon bras est devenu faible », « mes jambes tremblaient »
Enfants = petits visages sérieux / Bombes = un poids terrible
Réponse à Stepan qui montre ses sentiments, ses émotions et sa division :
« Mais elle ne m’avait pas demander d’ assassiner des enfants »
Conclusion → Kaliayev est convaincu mais reste humain. Epargner les innocents, s’attaquer au symbole de l’oppression des peuples
II/ Stepan, convaincu, intransigeant et isolé
Mais Yanek se voit soutenu par tous, excepté par Stepan. Celui-ci se trouve isolé, le seul à justifier l’attentat à tout prix, même la vie des enfants.
1) Convaincu et intransigeant
Au début il ne dit rien.
Homme convaincu : « L’Organisation t’avait demandé de tuer le grand duc », « Il devait obéir », « Je le pourrait si l’Organisation le commandait », « Rien n’est défendu