4. On peut constater que les jeux olympiques sont de plus en plus dispersés dans le monde.

La médiatisation accentue l’universalité mais suscite des interrogations

5. Les débuts de la médiatisation mondiale des jeux se fait en 1948 lors des JO de Londres (document 5).

6. Cette médiatisation est facile à concilier avec les valeurs olympiques car la médiatisation permet de réunir les peuples, ce qui entraine l’amitié et le respect. C’est à partir des JO de Rome (Italie) en 1960 que la plus grande partie du continent européen bénéficie de la transmission en direct des compétitions (document 5). Le public des Jeux Olympiques s’agrandit bien au-delà des spectateurs présents dans le stade. Grâce aux développements technologiques, la qualité des images s’améliore et atteint un haut niveau de perfection. Le ralenti permet de suivre en détail le geste d’un athlète, et des caméras placées sous l’eau introduisent l’œil du spectateur dans les piscines pour suivre l’évolution des nageurs. La télévision a énormément contribué à l’essor des Jeux Olympiques. Désormais, partout dans le monde, les amateurs de sport peuvent suivrent les performances des champions. C’est ainsi que les Jeux Olympiques sont devenus l’un des événements sportifs les plus suivis dans le monde!

B. Des enjeux économiques colossaux

Une retransmission de plus en plus chère

7. Les montants des droits de retransmission se font de plus en plus élevés : 24M en 1988 à Seoul, 185M en 1996 à Atlanta et 350M en 2008 à Pékin (document 6).

8. Cette évolution est dû à la médiatisation : l’évènement planétaire, et a la diversité des villes d’accueils des jeux olympiques, en effet : si les jeux olympiques ne se situent pas dans notre pays ou continent, il revient très cher d’aller les voir, on regarde donc les médias. Donc plus en plus de gens regarde les jeux olympiques à la télévision, ce qui fait augmenter les coûts de retransmission. Depuis le début des années 2000 le choix des villes