Une marque de vie sans Je suis accro aux marques. Aussi longtemps que je me souvienne, ils ont occupé mes pensées pendant la journée de veille. À quoi ils ressemblent, ce qu'ils font, ce qu'ils veulent dire. On estime que le Britannique moyen reçoit plus de 3000 messages publicitaires par jour, et mon cerveau est plein d'entre eux: M. Muscle aime les emplois qui vous haïssent; flamme Burger King whopper grillés pour seulement £ 2.99; Elvive New Anti-shampooing bris de L'Oréal Paris; Oral B Pulsar, en changeant la façon dont vous vous brossez forever ... Et ainsi de suite. Dès son jeune âge, j'ai appris que, pour être acceptée, pour être aimable, d'être cool, il faut avoir l'étoffe. Au collège, j'ai essayé de se faire des amis avec les jeunes qui sont populaires, pour être ridiculisé de l'absence de rayures sur mes formateurs. Une fois que j'avais harcelé mes parents pour le point de m'acheter des chaussures j'ai été dûment acceptée à l'école, et je suis devenu beaucoup plus heureux en tant que résultat. Tant que mes parents ont continué à m'acheter des marques, la vie était plus amusant. Maintenant, à l'âge de 31 ans, je me comporte encore conformément à la loi aire de jeux. Dans cette société laïque de la nôtre, où la famille et l'église une fois nous a donné un sentiment d'appartenance, d'identité et de sens, il ya maintenant Apple, Mercedes et le coke. Ces marques nous offrent un ensemble de convictions et des objectifs que nous pouvons aspirer. Ce sondage est tiré par les cheveux? Ne prenez pas de moi, voici Kevin Roberts, CEO mondial de Saatchi & Saatchi. "Pour les grandes marques pour survivre, ils doivent créer de fidélité au-delà de la raison. Le secret est l'utilisation de mystère, de sensualité et d'intimité ... le pouvoir de créer des connexions à long terme émotif avec les consommateurs." Être le naïf que je suis, j'ai cru dans les promesses que ces marques qui m'a été faite, que je serais plus attrayant, plus efficace, plus heureux pour acheter leur