Alors c'était ça, succomber. C'était cette mascarade qui puisait toutes les forces. Fléchir, plier sous le poids du scepticisme, de cette peine et peur incurable qu'on nomme Doute. C'était surtout qu'au lieu de faire simple je faisais compliqué, il parait. Fallait-il alors feindre le dérisoire et la futilité ? C'était parfaitement ce jeu auquel je n'avais pas envie de jouer, cette valse infernale que je n'avais pas envie de danser..Si J'arrêtais Le Temps Je Contemplerais Son Visage. Je Prendrais Le Temps D'encrer Dans Ma Mémoire Le Moindre Détail, Une Tache De Rousseur, Un Trait De Visage Particulier, Une Cicatrice Peut Être. Le Regarder Encore & Encore. Pour La Toute Première Fois Voir La Véritable Couleur De Ses Yeux. Me Serrer Peut Être Contre Lui En Sachant Que Quand Le Temps Repartira Sa Sera Comme S'il Ne C'était Jamais Rien Passé..Je hais ta façon de me parler, Et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de t'occuper de moi ,Je hais quand tu fait des betise, je hais de devoir te donner des claque.Je hais ta facons de me rendre heureuse, Et de me regarder dans les yeux. Je hais tes sourire , Et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d'en crever .Et même de te tuer parfois.. Je hais ta façon d'avoir raison, Tes histoires . Je te hais quand tu me fais rire, Davantage quand tu me fais pleuré. Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es dieu sais où. Mais je hais surtout de ne pas te haïr... Ni un seul instant, Ni une seule minute,Ni meme du tout...
Même quand je suis déçue,même quand les mots ne me viennent plus,même quand ma vie ne m'inspire plus, même si j'ai tort, même si j'ai froid,même si j'en dors si mal parfois,même si je tombe encore plus bas,J'y crois encore parce que tu es là.On se ressemble tellement..Dans notre histoire c'était écrit, tout sonne comme une évidence..Ton visage est un endroit qui a marquer ma vie , car je n'est jamais ressenti une compliciter si intense , si fusionnel ,J'y crois parce qu'avec toi c'est différent et parce