Les fleurs du mal
Dans un premier temps, la femme est présentée dans le poème «À celle qui est trop gaie», comme étant un être aimé. En effet, Baudelaire présente son amour pour la femme pendant la majeure partie de son poème. Il accorde à l’amour de la femme présenté les 15 premières strophes dans laquelle il ne parle que du bien qu’elle lui fait ainsi que l’image qu’elle projette et que du même coup, le plaisir qu’il a à regarder cette dame. Il le fait, d’abord, en faisant une comparaison, dans la première strophe du poème avec la nature. Il le fait au vers 1 et 2 avec l’allure qu’à cette femme, soit son visage et ses façons d’agir avec ce qu’il dit si bien dans le deuxième vers, qu’elles sont : «Beaux comme un beau paysage». De plus, il continue en parlant de son sourire avec les 2 vers suivant. «Le rire joue en ton visage/ Comme un vent frais dans un ciel clair.» Dans le cas de ces vers, Baudelaire utilise la comparaison à un vent de fraîcheur qui fait du bien et qui éclairci nos idées. De plus, dans le deuxième poème, «Parfum exotique» le même phénomène ce produit face à Baudelaire et sa perception de la femme, il le fait cependant à l’aide de sensation. Il compare sa femme à l’odeur et la