"Les fenêtres" de baudelaire
I - Univers des fenêtres
A) Apparition du fantastique
B) Endroit où la vie est présente
II - Relation avec les personnes réelles
A) Histoire de la vieille femme
B) Souffrance de l'auteur
I-A)
"Il n'est pas" V3 => Négation qui montre qu'il n'y aura pas plus.
"Plus profond...[...]...éblouissant" V3-4 => énumération d'adjectifs qualificatifs fantastiques.
"mystérieux" & "ténébreux" => Référence aux ténèbres, au mal. Tandis que "Fécond" et "éblouissant" fond référence à la lumière, au bien. CL du mal en opposition, encore référence au fantastique du texte.
I-B) "La vie" anaphore qui montre l'importance de la vie à travers les fenêtres.
"Vit la vie, rêve la vie, souffrre la vie" V7 => Opposition entre vivre et souffrir, ce qui montre qu'il peut y avoir plusieurs types de vie à travers ces fenêtres. On retrouve d'ailleurs "vécu et souffert" au V15, mais pas sous la forme de fenêtre mais bien d'un être humain.
II-A)
V8 au V12 => CL des sens ("j'aperçois, son geste, me la raconte,...") montrant qu'on passe de l'objet à l'humain.
"J'ai refait l'histoire de cette femme, ou plutôt sa légende" V12 => L'auteur, à partir de détails extérieurs, s'imagine ce qu'il y a à l'intérieur de la personne.
"Un pauvre vieux homme" V13 => relevé pathétique montre que l'auteur ne se compare qu'à des gens qu'il juge pauvres, car il cache une souffrance en lui.
II-B)
"Et" V15 => Conjonction de coordination => l'auteur parle de lui à la fin du poème, en dernier, il a peu d'estime pour lui.
"Fier d'avoir[..] moi-même" V15-16 => opposition de la vie et de la souffrance qui montre que l'auteur doit s'évader, en s'imaginant vivre dans d'autres personnes, il est même fier d'avoir souffert dans un autre corps que le sien ! => Sa souffrance est immense.
La dernière phrase => montre que même si l'auteur se trompe sur la face cachée des gens, celle-ci, vraie