Les femmes
Milieu du 18e siècle, certaines femmes exerçaient la profession de fleuriste, de plumassières, et, d'une façon générale, les ouvrières des articles de Paris, travaillent-elles aussi dans de petits ateliers ou à domicile, faisant plusieurs tâches à la fois et, sous-payées et, subissaient de longs chômages saisonniers.
Un grand nombre de femmes travaillaient dans les mines dés leur plus jeune âge, spécialement pour trier le charbon ou pousser les wagonnets. Elles n'étaient pas embauchées comme mineur à cause de leur condition physique inférieur aux hommes, ce qui étaient un avantage puisque les conditions de travail y était moins dangereuses même si elles étaient beaucoup moins payées que les hommes.
Le plus souvent les femmes étaient présentes dans l'industrie textile, elles représentaient presque 600 000 en 1866 soit 70 % des ouvrières travaillant dans le textile. Les industries textiles embauchèrent massivement les femmes pour leur cout de main-d'œuvre peu élevée et une emprise très facile sur elles .Les ouvrières effectuaient des tâches spécifiques aux hommes, grâce à l'industrialisation le travail des femmes était rendu plus facile comme par exemple le moulinage de la soie, du tissage... Certes le travail des femmes restait moins pénible avec la mécanisation des machines mais les conditions de travail restaient très dur, les ouvrières qui travaillent dans les ateliers de textiles comme par exemple l'industrie textile de Verviers où les conditions de travail étaient très dures. Dans les ateliers de textile la température pouvait atteindre jusqu'à 30° et l'odeur y était repoussante. Les femmes étaient l'une des main d'œuvre les moins payés avec les enfants, elles recevaient un salaire inférieur de moitié à celui des hommes. Les femmes subissaient aussi parfois, le chantage sexuel commis par les hommes. Elles devaient éventuellement recourir à la prostitution occasionnelle pour pouvoir survivre. En cas de crise, les femmes