Les droits des usagers auprès des établissements et services médico-sociaux
Face à la difficulté du système de santé, les usagers, qui sont également des patients, ont la possibilité de faire exprimer leurs droits (communication du dossier médical, obligation d’information des praticiens,...) et d’être accompagnés dans leurs démarches (procédure d’indemnisation).
Le système de santé bien que ces évolutions sont souvent incertaines sur ces droits qui sont couramment des droits individuels que collectifs, même si la tradition de consumériste reste faible elle relance des débats qui mène ou non à une représentation directe de ces usagers dans un cadre sanitaire et social.
La notion de « l’usager » par l’équivalent de sont état le prédispose peu a son autonomie (malade, âgé, dépendant, démuni...) qui entretien une relation très inégales face a ces professionnels (connaissances, informations), de plus d’après la sociologie des organisations montre que les professionnels ont tendance à parler au nom de l’usager ce qui mènent a des politiques fondées sur les représentations de ceux qui s’expriment au nom des bénéficiaires. Le droit des usagers évolue seulement par construction volontariste même si 3 faculté peuvent se fusionner comme :
- La volonté politique.
- L’éthique des professionnels.
- La vonlonté individuels et collective des usagers.
Qui peut s’avérer être très déterminante et améliorer la qualité du système de santé.
Depuis la loi recherche un rééquilibrage de la relation médecin-patient, avant cela elle mesure les antécédents de celle-ci, elle redoute des risque de dérive de type consumériste, l’imbu des droits du consommateur malade mais également les contraintes matérielles, la pénurie de personnels plus précisément le manque de moyens qui ne pourront aboutir au respect dans de bonnes conditions. Pour cela il faudrait évoluer les mentalités de personnes soignantes par la contribution de la formation à l’éthique, aux droits de