Les droits de l’homme
Le Guatemala est une nation libre, souveraine, indépendante, et est organisée pour la liberté, la sécurité et la justice de ces habitants. La loi dit qu’aucune personne ne peut être soumise à l’esclavage ni à toute autres conditions de mépris de dignité ou de décence.
Aucune forme de discrimination n’est tolérée qu’il s’agisse de la race, de la couleur, du sexe, de la religion, de la naissance, de la position économique ou sociale ou encore de l’opinion politique.
Toute personne est autorisée à circuler librement sur le territoire et à faire partie de réunions ou associations.
La justice privée est interdite, l’organisation ou le fonctionnement de milices autre que l’armée du Guatemala est punissable. La torture, les abus, les mesures non justifiées par la loi sur un prisonnier ou détenu est passive de sanction.
En réalité :
Un grand nombre de personnes est victime d’exécutions extrajudiciaires effectués par les forces de sécurité et leurs agents civils.
Les indigènes, les militants des droits de l’homme, les syndicalistes, les « enfants des rues »,… sont le plus souvent les victimes des ces exécutions ou fausses disparitions. Des membres de mouvements populaires et des journalistes, entre autres, ont été de plus en plus souvent l’objet de menaces de mort et harcèlement.
Des hommes appartenant aux force de sécurité on enlevés et torturés des guatémaltèques.
Les gouvernements n’ont pas enquêtés à propos de fosses communes secrètes, de centaines de milliers d’exécutés extrajudiciaires et autres, de peur d’être menacé ou