Les djiins de victore hugo
1) Les djinns
a) Ce sont des monstres
- Champs lexical du monstre : fantastique peur qui est accentué par la destruction
b) Qui détruisent tout
- Champs lexical de la destruction : mène a la révolte
- Ce sentiment est accentué par la personnification : « la maison crie et chancelle » v61
c) Et qui semble provoquer apocalypse
- Référence religieuse qui évoque l’apocalypse « cri de l’enfer » ou encor « comme une âme qu’une flamme toujours suit » : référence aux flammes de l’enfer
- Cet effet de fin du monde est accentué par des interjections telles que « dieu » ou « Ô ciel ». Cet effet produit de la peur.
Tr : Les djinns semblent annoncer la fin du monde ce qui suscite la peur chez le lecteur. L’expression des sentiments et notamment de la peur est d’ailleurs un thème principal du romantisme.
2) La peur
- Le lecteur imagine la situation qui traduit les sentiments des personnages et notamment leur peur.
- Les phrases courtes accélèrent le tempo, ce qui met un peu de tension dans le poème.
- La peur est accentué par l’hyperbole : « voix qui hurle et qui pleure »
- Le lecteur est dès le début tendu car il se doute qu’il va se passer quelque chose grâce aux vers « mer grise où […] tout dort proverbe c’est le calme avant la tempête.
Tr : la tension du lecteur est renforcée par les différents sons.
3) Les sons
- Victor Hugo utilise l’ouï pour évoquer la terreur du moment.
- Sons proportionnel à la proximité des démons croissant puis décroissant.
Augmente la tension chez le lecteur
- Forme du poème suit la progression du bruit. Augmente d’une syllabe à chaque strophe.
Conclusion : pour conclure, nous pouvons dire que c’est un poème