Les critères budgétaires du traité de maastricht.
Introduction:
-Selon L'INSEE la dette publique au sens de Maastricht devrait atteindre 73 % du PIB tandis que le déficit public devrait être de l'ordre de 5 % du PIB.
-Pourtant dans le cadre de L'U.E il fut établit à travers le traité de Maastricht (1992), puis par le pacte de stabilité et de croissance ( 1997) que pouvait adhérer à l'union économique et monétaire, les pays de l'U.E respectant un certains nombre de critères de convergence, notamment budgétaires.
-Ces critères sont de deux grands ordres: déficit inférieur à 3 % du PIB et dette inférieur 60 %. Or la France et d'autres membres dépasse largement ( Grèce, Italie).
-Il convient alors de se demander 2 choses: Pourquoi de tels critères ? Qu'est ce qui pousse a établir de telle critère que l'on ne peut respecter? Deuxièmement pourquoi les états membres s'en écartent-ils ?
Touchant la sphère économique la réponse semble évidente et se trouve même dans le prolongement du traité=> Pacte de stabilité et de croissance. L'U.E a estimé que seul de telles contraintes limitant assez fortement les politiques budgétaire expansionniste basée sur la dette pouvait assez la pérenité et la croissance de la zone euro.
A l'inverse les Etats s'en détacheraient car l'outil budgétaire librement utilisé=> la dette permettrait d'assurer la croissance=> Cf grand emprunt, crise, aucun moyen de peser sur une croissance morose.
-D'où problème: Les critères budgétaires imposés par le traité de Maastricht sont t-ils défavorables à la croissance des pays de l'union européenne ?
Plan: La crise économique et l'absence de réaction face au creusement du déficit et de la dette et de l'ensemble de pays résonne comme un aveux: Des politiques monétaires expansives semblent nécessaire à la croissance (I). Pourtant dans le cadre d'une économie à la monnaie commune il semble inévitable que des politiques budgétaires disparates nuisent à la croissance de l'économie