Les confessions d'en enfant du sciécle
Partie 1 : Il dit écrire pour guérir d’une maladie morale qui touche beaucoup de monde. Il montre tous les exemples de mal-être qu’ont connus les hommes durant l’histoire. Il tente d’expliquer pourquoi ses contemporains sont tous dans cet état. La première fois qu’Octave a connu le désespoir, il venait de découvrir que sa maitresse le trompait avec l’un de ses amis intimes. Il est blessé lors du duel. Desgenais ne comprend pas son attitude, il faut, d’après lui, profiter des femmes sans se casser la tête. Octave écrit à sa maitresse que leur relation est définitivement finie. Il n’avait pas d’autre occupation que sa maitresse, il a beaucoup étudié mais n’a jamais rien fait et n’a pas l’intention de faire quelque chose. Desgenais lui reproche de ne pas avoir déjà trouvé une autre femme mais Octave a été blessé et, même s’il sait qu’il a bien fait, a du mal à guérir. Desgenais est inquiet pour Octave, l’état de désespoir de celui-ci semble sérieux. Il expose sa théorie sur l’amour : les hommes et les femmes sont différents face à ce sentiment alors il ne faut pas hésiter à tout essayer même si on est trompé,… tant qu’on est aimé. Il se promène lorsqu’il rencontre Mme Levasseur, amie de sa maitresse. Ils vont diner ensemble. Ils partagent leurs souffrances et se rapprochent. Il va jusqu’à l’embrasser mais lorsqu’il comprend que la douleur n’était qu’une arme de séduction, il s’en va, dégouté. Il reçoit des livres en héritage : ceux-ci mettent le libertinage sur un piédestal. Il ne sait plus que penser et se tourne vers la Bible qui ne lui apporte aucune réponse. Il espère, dans sa douleur, avoir une preuve de l’existence de Dieu. Il passe de nombreuses nuits sur le banc devant chez sa maitresse. Dans un accès de désespoir, il entre dans un cabaret et boit beaucoup en peu de temps. Une femme l’aborde et le console. Dans son ivresse, il lui trouve une ressemblance avec sa maitresse. Cette femme incarne la maladie du siècle. Quand il réalise la