Les cellules urticantes
Introduction page 2
Les cellules urticantes dans le monde du vivant Pages 3-5
Dans le monde végétal
Dans le monde animal
Les mécanismes de fonctionnement des cellules urticantes Pages 6-16
Les poils urticants d’ortie
Les cnidocytes des cnidaires
Les poils urticants des chenilles processionnaires
Les réactions engendrées par les piqûres
Pages 17-22
Démangeaisons et brûlures
L’anaphylaxie
Inflammation (Comment l’organisme combat ?)
Conclusion page 23
INTRODUCTION
Dans le cadre du TPE (Travail Personnel Encadré), plusieurs idées nous sont venues à l’esprit. En effet, de nombreux sujets s’offraient à nous. Après approfondissement, nous avons tout d’abord pensé aux plantes médicinales puis aux orties. En effet, pourquoi les orties piquent-elles ? De plus, ce sujet concerne bon nombre d’entre nous car nous nous sommes plus ou moins déjà fait piquer par ces plantes. Il paraîtrait même qu’une fois piqué par une ortie, sa douleur est immédiatement reconnaissable lors de la piqûre suivante. Comme un TPE sur les orties se dirigeait plus vers un exposé, nous avons donc élargi le sujet et choisi de parler des cellules urticantes. Ce sujet regroupe autant les espèces du monde végétal et celui du monde animal. Dans le monde végétal, nous connaissons l’exemple de l’ortie (très connue pour ses bienfaits médicinaux mais également pour ses piqûres dérangeantes qui nous démangent), et dans le monde animal, les méduses qui font parties de la famille des cnidaires. Les cellules urticantes caractérisent donc des cellules du corps d’un individu possédant un liquide ou un acide spécifique ayant pour conséquence une réaction sur un organisme étranger. De plus, ces cellules ont un but ; elles permettent aux espèces qui les détiennent de se défendre ou même de se