Sujet : Dans la deuxième partie du roman, la mère manifeste sa soif d’apprendre en assistant à des cours dans une école spécialisée et en lisant de nombreux livres.
Imaginez un dialogue argumentatif dans lequel la mère essaie de convaincre son fils Nagib des bienfaits de la lecture.
Dans notre monde actuel, on ne se rend plus compte de l’importance de savoir lire.
Dans le Maroc des années 1970, où peu de gens savent lire, une mère a compris l’importance de la lecture et tente de convaincre son fils ainé, Nagib, peu intéressé par la lecture, de ses bienfaits et des avantages qu’elle peut apporter dans la vie.
La mère qui n’a pas eu d’éducation dans sa jeunesse, sait que la lecture a changé et amélioré sa vie.
C’est en sortant de son cours, quand son fils vient la chercher, qu’elle essaie de lui donner goût à la lecture.
« Les livres peuvent améliorer ta culture générale et t’apporter beaucoup d’informations, par exemple, sur tes ancêtres, le pays dans lequel tu vis, l’origine de tes croyances ! affirma la mère. »
Nagib répliqua :
« Je veux bien te croire maman, mais la lecture est une activité solitaire qui nous empêche de mener une vie sociale, toi qui aimes tellement discuter !
- Bien sûr que j’aime discuter, déclara-t-elle le sourire aux lèvres, et si tu lisais nous pourrions, pour une fois, discuter d’un sujet intéressant!
Mais, continua-t-elle, lire pourrait également t’instruire sur d’autres pays, leurs cultures et leurs langues.
- Mais petite maman, j’aurai beau connaître tous ces pays étrangers, si je ne vais jamais là-bas, ça ne me servira à rien ! protesta Nagib »
La mère poursuivi sans faiblir, à vanter les bienfaits de la lecture.
Elle annonça :
« Il n’y a pas meilleur moyen d’enrichir ton vocabulaire et d’améliorer ton orthographe que la lecture, mon fils.
- Je n’ai pas besoin d’écrire à la contre école, répondit Nagib, et j’améliore mon vocabulaire tous les jours en écoutant la radio.
- Tu seras étonné comme les histoires