les belles soeurs: est-il juste d'affirmer que Rhéauna Bibeau et Angéline Sauvé sont Aliénées
Les années 60 est une décennies de changements. effectivement, c'est la révolution tranquille. Au Québec, nous voulons parler notre langue, le français, et nous voulons avoir notre propre identité en tant que canadien-français. Plusieurs systèmes sont fondés comme celui de l'éducation et de la santé. Du côté de la littérature, la poésie est populaire et le joual, la langue du peuple, est mis en premier plan. En 1968, un auteur québécois écrit une pièce de théâtre en joual, Les belles sœurs. La pièce montre la vie du côté des pauvres à Montréal. Selon l'extrait, est-il juste d'affirmer que Rhéauna Bibeau et Angéline Sauvé sont Aliénées. Premièrement, les personnage sont prisonnières des normes de la société, deuxièmement elles ne respectent pas ces normes avec la même rigueur et finalement, elles sont aliéné puisqu'elle sont emprisonnées dans la solitude et la pauvreté.
En premier lieu, les personnages sont prisonnières des normes de la société. De son côté, Rhéauna Sauvé n'accepte pas le travail d'Angéline. Effectivement, la découverte que son amie travail dans un club, ce qui fait réagir Rhéauna ; '' Mais que c'est qu'tu doit avoir l'aire! Pour que c'est que l'monde doivent te prendre en t'voyant rentrer là? '' Dans cette citation, ''avoir l'aire'' signifie ''paraître'' et ''là'' désigne le bar . Rhéauna se demande comment la société va réagir au fait que son amie ne fait pas un travail normal, qu'elle ne suive pas le même chemin qu'eux. Rhéauna est prisonnière de ce que les autres vont pensé et de se qu'à établie la société. Du côté d'Angéline, elle se résigne aux idéaux de sa famille. C'est pourquoi elle perd son aspiration au bonheur ; ''Pis tes soeurs qui peuvent pas te sentir justement parce que tu travailles dans un club ! J'te dit q'y'a pus rien à faire ! Rien ! Rien ! '' Ici, ''tes soeurs qui peuvent pas te sentir'' , veut dire qu'elles n'acceptent pas sont travail. De plus, la répétition du mot ''rien'' montre la désillusion d'Angéline