Les animaus malade aide commentaire
On oppose la force (Le Lion) et la faiblesse (l'Âne) à la ruse (le Renard).
Le Lion n'est critiqué à aucun moment, cependant tous les verbes d'action montrent la maniére dont il mange, représentant la brutalité : « dévorer » (vers 26), « manger » (vers 28, plus correct).
Un bon roi est capable de se sacrifier pour son peuple dont le jugement est sûr et qui est souhaité par ses courtisans
Renard = Courtisans, présentés comme futés ainsi que comme maître de la parole, notamment dans le mécanisme de la flatterie. Vers 34-35 l'adverbe « trop » représente une hyperbole. Le roi a mangé quelque chose d'insignifiant. Vers 36 « Manger moutons, canaille, sotte espéce ».
La confusion des pouvoirs mène à l'injustice
la réaction du pouvoir une analyse démagogique de la crise
Le "nous" renvoie vers la communauté les fautes du premier coupable et premier responsable des malheurs qu'est le roi. Le refus de désigner nommément un coupable. L'éventuelle inutilité de ceette recherche pour un véritable solution une auto-critique qui s'absout de ses crimes Le Lion est peut-être d’autant plus enclin à la sincérité qu’il sait d’avance que les courtisans le disculperont. En témoigne le " nous" du vers 23, faussement ambigu : s’il semble désigner le peuple animal rassemblé (v. 21), il s’agit en fait d’un pluriel de majesté. Le Roi seul peut parler de ses fautes "sans indulgence" (v. 23), parce qu’il sait pouvoir compter sur l’indulgence des autres. Il se garde bien d’ailleurs de préciser comment sera reconnu "le plus coupable" (v. 33) : tout se passe comme si le Lion savait d’avance qu’il ne serait pas question de juger " selon toute justice ". Il y a donc dans le discours du Lion comme une invitation que le Renard est le premier à comprendre : Le lion se défausse de la recherche du coupable et de sa punition à la Cour.
1. Le pouvoir : le roi et les courtisans
• Personnages : lion brutale et injuste
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