lecture cursive
Ensuite ma pièce suit effectivement une unité de ton grave, du début à la fin. Le fils qui veut se faire reconnaitre sans avoir à dire son prénom, n’écoutant pas sa femme et ses conseils, se fait finalement tué par sa mère et sa sœur. Elles se tuent à leur tour en apprenant qui le héros était. Martha, sa femme, se retrouve seule, et personne ne veut l’aider dans son désespoir.
L’unité d’action de ma pièce est respectée, en effet, l’action se déroule uniquement sur un évènement. Durant un des moments de crise financière de l’auberge, le riche fils absent pendant vingt ans revient et aimerai se faire reconnaitre de sa famille. En conclusion, je dirais que j’ai repris quelques aspects d’une pièce de théâtre classique, mais ma pièce reste une tragédie moderne.
Pour donner une allure moderne à ma tragédie « le malentendu », j’ai changé effectivement quelques règles du théâtre classique.
Tout d’abord, j’ai décidé de modifié un traditionnel héros noble, en un héros tragique. Vous avez sûrement lu ma pièce, vous avez donc pu remarquer que le héro, Jan, n’est pas comme les autres. En effet, dans cette histoire, il n’est pas honnête avec les gens de sa famille. De plus, il reste sourd aux avertissements de sa femme. Il entraine finalement tout le monde dans sa chute. Sa mère et sa sœur se suicident à cause de lui, et Maria, sa femme, souffre beaucoup. Evidemment, le héro n’a pas montré l’exemple comme le voudrait une pièce classique. Mais cela nous montre que l’erreur est humaine.
Je pense que les pièces classiques ne montrent pas la vérité aux spectateurs, mais cela idéalise un monde qui n’existe pas. Ma pièce donne une leçon à tirer de