Lecture analytique: La princesse de Clèves, Madame de la Fayette.

On trouve le champs lexical de la beauté « une beauté» (1.1), « parfaite» (1.2), « belles personnes» (1.3), « grâce et charmes» (1.35) ; de l'amour « l'amour» (1.15), « sincérité des hommes », « leurs tromperies et leurs infidélités» (1.17-18), « les engagements » (1.18),
« aimer» (1.24) ; de l'éducation « ses soins à l'éducation» (1.9), « cultiver son esprit » (1.10),
« donner de la vertu » (1.11), « apprenait» (1.16), « contait» (1.17) ; de la vue « parut» (1.1),
« les yeux» (1.1) .; « voir» (1.3).
Ces champs lexicaux décrivent une personne qu'on pourrait qualifier de parfaite de part sa beauté, son éducation et sa connaissance sur la vie, les hommes, l'amour malgré son jeune âge.
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De la ligne 1 à 4, on a du passé simple: ici, l'auteur nous décrit une beauté qui paraît encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour « il parut alors une beauté à la cour », on ne connaît.pas le prénom de cette jeune fille, on sait seulement que tous les regards se portent sur elle et qu'on l'admire « attira les yeux de tout monde, et l'on doit craire [...] puisqu'elle donna de l'admiration» (1.1-3). On s'attend donc dans la phrase suivante que Madame de La Fayette nous en dise plus sur cette jeune femme. Ce texte débute donc par une sorte d'énigme qui crée un effet d'attente, de suspense.
Mais de la ligne 4 à 3D, on a une dominante d'imparfait « Elle était» (1.4), « avait» (1.14),
« montrait» (1.15), «faisait voir» (1.19). Le récit marque un temps d'arrêt, l'auteur ne nous raconte pas ce à quoi on s'attendait. En effet, elle revient sur le passé de cette jeune fille et nous explique comment sa mère la éduquée. Il y a quand même un élément dans ce passage que l'on retrouve à la fin: on apprend qu' « elle était dans la même maison que le vidame de Chartres »
(1.4)
De la ligne 30 à 35, on retrouve du passé simple: l'auteur répond enfin à nos attentes et la phrase
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