Lecture analytique de zone de apollinaire
Lecture analytique.
Poème a réviser pour le 15/12 « a une passante » « la belle Dorothée » « hôpital » « vie d’ébène » « zone »
C'est un poème qui est avant le surréalisme. Le titre du poème renvoie aux terrains vaguent qui entouraient Paris. Il s'agit de lieux marginaux.
Le thème dominant est la ville.
I- Un poème empreint de modernité.
a- La forme.
→ Rimes pauvres / assonances (v 7.8). → Présence de strophes irréguliers + vers détachés. → Vers inégaux quant à la longueur (v 23.24). → Impression de liberté (pas de ponctuation)
Apollinaire est le premier poète à avoir faits des poèmes sans ponctuation.S'il n'y a pas de ponctuation c'est pour laisser au lecteur la façon de le lire.
b- La modernité dans le poème.
→ « hangars de Port-Aviation », « automobile », « directeurs », « tour Eiffel » → « prospectus », « les catalogues »... v.11 → Énumération. → « Voici la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux »
Jeux de mots slogans...
Apollinaire valorise la littérature moderne dont la poésie.
→ Est-ce une modernité animée ?
Il y a une modernité qui est animé car il y a un champ lexical du son : chant, gémit, aboie, criaillent. C'est une rue bruyante. →Personnification : v.11 « affiches » v.19 « sirène » → Comparaison animale v.20 « cloche »
→ Ainsi le poète donne vie à l'ensemble des éléments de la rue de elle même.
Il y a du mouvement (les autos...). Présence d'individus qui passent fréquement dans la rue.
L.18 « du lundi […] y passent »
Métaphore filé (v.2). Nous sommes dans une rue industrielle qui réside et animé par les bruits constant
II- Du monde ancien au monde moderne.
a- Le poète ne fait pas références qu'au monde moderne. → l.1 « monde ancien » l.2 « antiquité grecque et romaine »
Néanmoins il préfère le monde moderne → l.1 « tu es las » → Énonciation → « tu » → s'adresse au lecteur ( possible ) mais aussi