ÂMLYTIQiJE :

LECTURE

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êorrèspondanccs

»

malheureusa du poète ; moudiÿ pan so pièce des Ftgune dg litql. succède à deux texles évoqrcrt lq condifion remwiée par le
I
it
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reilépor les hommes danr « Albat'os {ottenfion r'agif iei de l'édiÿion mère dons « l,a,édiction * eÿ ertlé §)r teîre cor il est seul génie » son révàle
«
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Elévctian
suivants poèmes deux poète oprès la pnocès). lürais lq vocation du poè*e =.;uJifiee dans les ætre médiateur lE poêfe c«rinls » le «
:
» eonrespondsncee lrr'éeente nu.rgttes copable de * comprt*ndre le longuge dEs fleurs et dJchqsee

rntrq&§ttoJr r peàme

: 4t*

*

la nsturË et les hommes. équiwls$ees sensoricllcs.
Le poète livre une mâthoda. celle de ls srriesthéslr, c'Gst è dire dcs
?
cornmenf ce sonnct didücrislr oçhqw-t-it son titne ênigmotiq,le t L
-ra"
-Jc À.rrvc.{

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I.

a. Le lien hcmme/

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1- quotroln

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f *ry

ik*ryvrls*noï

Lo dÉcouvcrte dgs gqrtÊIDo0Cgncas

nstutu éroque deux entités : nature et homme

:

lanatureestpersonnifiég:mo.juscule+mots*vivosrts»,*poroles»cobseryent»«regardsfonriliers»' qrmbclee »'

y porse à irsveFs dss fonâts de lhomme présent6 cornme un *oiog*r Provisoirc I « rhomme cntnc l'homme ct [a noirnc :
Êt
lnwr'sê le quærain met donc en valeur un llcn ponttcullen
(également
mise en valsur dons le tr'r hdmisiiehe, 2 ve'rs pour l'homme ce lien est morqué par un effet de synÉtt'lc : z verepour Ia noture,

*

dsns 1" hérRistichre). un eimple objet (« qui l'observant »), ïa mtur"a âmct dcs
Ce lien scmble invcnré I ls nature esf sujet der vcrbcs, fhornme dsvient
r) et
*. ltltais ses metsages sont mysfrÊrianx (« confu* parules msssogt€s st l'hommc rcçoit : « lalssent poriois sortir de confu§es Pqrcl€s syrnboliques (« for"êts de syrnholes F)'
L.homme

ses messages' est dd{c en coarmunlcatlon orac tq noturc et doit percevoir

[impgrtoree de ]a Perqeepfiory

B.

: ellet sont en eff et

cest