Lecture analytique - 24h de la vie d'une femme de stephan sweig
Le passage débute avec une longue phrase de six lignes qui reproduit le mouvement de la main grâce à une description précise de la narratrice avec des adjectifs comme mince, longue. L'auteur montre le caractère unique de la scène en utilisant des adverbes comme très rares, extraordinairement, extrêmement . La surprise de la narratrice se confirme par la suite. Il met en relief des répétitions comme je les regardais, pour insister dessus; Elle hésite a adopter un sentiment de crainte ou d'admiration. Durant tout le passage, elle multiplie les comparaison, elle les compare aux animaux, aux sentiments propres. Elle personnifie les mains de ce joueur.
2)Le symbole des mains
En lisant la suite du texte, le lecteur n'a plus l'impression de voir seulement des mains, mais il peut imaginer deux animaux effectuant une parade nuptiale, grâce au mots comme lutter, passion, fièvre. Ce qui est justifié par la comparaison à la fin du paragraphe : « Comme deux animaux » . Après la lutte, vient l'épuisement : « Elles tombèrent » . La lutte semble externe, les mains tels deux animaux reprennent leur souffle puis attaque à nouveau, p54 « elles échouent ». Puis apres en a peine une phrase, le lecteur quitte cet univers pour retrouver le casino. Par extension, les mains traduisent l'homme en totalité, elle traduise la nervosité du joueur : « il cracha presque le jeton » . A la fin de l'extrait, on retrouve la métaphore animal, qui traduit la complexité de la vie avec la sensation que le destin ne peut être évité. Il est décrit tel un panthère.
3)L'alliance des contraires
Tout au long de l'extrait, le lecteur assiste à un combat entre l'amour, la mort et la vie. Tout d'abord la narratrice vie intensément ce qui est en train de lui arriver. Elle ne cesse de répéter sa surprise à travers la réalisation de ses descriptions. La métaphore de l'amour est présente tout le temps. Champ lexical de la passion : fièvre, foudroyées, frémissantes. Mais