Le voyage d'italie et florence dans la littérature romantique (1826)
E24LT5 Littératures comparées
TD : Le voyage d’Italie dans la littérature romantique (et après)
Enseignant : A. Ducoux
Nom : Burkhardt, Chiara-Sophie (Erasmus)
N° étudiant: 22113836
Commentaire composé
Rome, Naples et Florence, Stendhal, 1826
Florence, 22 janvier 1817 11/04/2022
___________________________________________________________________
La beauté de l'art et de la culture italienne produit chez certaines …afficher plus de contenu…
Le « sombre religieux » de l’église parle à son « âme » et lui promet de se recueillir dans l’obscurité. Les tombeaux expriment une religiosité qui vise une communication avec les morts. On pourrait dire que l’âme du narrateur peut écouter leurs paroles. Par la contemplation de la « beauté sublime », ainsi les Sibylles du Volterrano qui sont « les plus vif plaisir que la peinture m’ait jamais fait », les
« sensations célestes » rencontrent les « sentiments passionnés ». Le narrateur qualifie de « célestes » les sensations que lui ont procurées les beautés de Santa
Croce.
Visiter la ville de Florence, c'est aussi, pour le narrateur, visiter les lieux et les tombeaux des hommes les plus importants d'Italie. Ainsi, Laurent de Médicis …afficher plus de contenu…
Devant les tombeaux de ces hommes, il est complètement décontenancé. « Quels hommes ! » Les expériences et impressions esthétique de la ville de Florence conduisent à une excès, à une overdose du beau magnifique. La beauté devient alors oppressante et le narrateur perçoit soudain toute l’émotion que dégagent les œuvres d’art, le beaux-arts, les bâtiments, la ville de Florence et les représentants de la culture italienne. Le narrateur absorbe ces émotions à tel point que cela provoque chez lui de fortes crises psychiques et physiques. Stendhal, a été le premier auteur à décrire ces symptômes, les effets du voyage et de la surcharge de stimuli culturels dans le récit de son voyage en Italie. C’est là que vient le terme de syndrome de