Le malade imaginaire acte iii scene 10
Molière dit Jean-Baptiste Poquelin est un dramaturge du XVIIe siècle. Il a écrit de nombreuses œuvres comme l’école des femme ou l’avare mais celle qui a fait parler de lui c’est le malade imaginaire écrit en 1673. Le passage que l’on va voire est dans l’acte III scène 10
Problématique : de quelle manière Molière exprime-t-il la satire de la médecine ?
Mouvements : de la ligne 67 à 87 : un régime contesté
De la ligne 88 à 109 : la naïveté d’Argan …afficher plus de contenu…
Toinette relance ensuite l’échange avec « que diantre » et une phrase interrogative ainsi que des éléments concrets et essentiels « que faites-vous de ce bras-là ?». On a « Ce » et « là » qui insiste sur le bras qui semble être un problème. On parle d’un bras suivi du verbe « couper ». Son soin devient donc un handicape s’opposant donc à la santé et le bien-être.On ressent la certitude de ses propos avec l’utilisation de la locution adverbiale « tout à l’heure » qui insiste sur l’urgence des propos. Le moyen est de le faire réagir en se mettant à sa place « Si j’étais que de vous » ligne 90 ou encore avec la question rhétorique ligne 93 qui traduit l’évidence. Le comique est aussi dans l’explication donné ligne 94. …afficher plus de contenu…
Toinette recommence ce même principe. On passe du bras à l’œil ligne 96 avec
« vous avez là » qui est un adverbe de lieux. On passe à un organe plus handicapant, après « couper » on a « crever ». L’œil crevé peut traduire qu’argan n’a pas conscience du monde qui l’entoure, il est aveugle sur le monde. Toinette se met encore une fois à la place d’Argan et pose une question rhétorique. Elle fonctionne de la même manière. On a l’explication toujours aussi ridicule. L’œil aurait un impact sur le système digestif. Le verbe croire ligne 100 avec la locution de temps traduit encore une fois l’urgence de ses propos. On peut voir ligne 102 la réaction humaine d’Argan qui ne se rend pas toujours compte