Le combat contre les lépreux (v.hugo)
Tristan est alors du côté de l’attente, il à un plan pour sauver Yseut tandis que la horde de malade semble à peine penser et se dirige machinalement sur un chemin.Tristan est alors non loin d’eux et n’attends que le moment de voir sa bien-aimée pour la sortir de l’emprise des lépreux dans une prouesse de chevalier. C’est alors que par le cri de Gouvernal que l’action commence. Ensuite Tristan voit Yseut et surgit sur le passage des lépreux pour sauver la reine de ce destin tragique qui l’attends. Alors que le début de l’extrait semblait se passer dans la discrétion du côté de Tristan, Gouvernal intervient en signalant la présence d’Iseut. « A haute voiz Gouvernal crie » (v.1235) dans ce vers …afficher plus de contenu…
» (v.1263-1264) C’est son compagnon qui sauve Yseut et qui a combattu. De plus, la main dont est saisit Yseut est celle de la droite. La droite est le côté du bien, Yseut échappe aux lépreux qui représentait le mauvais côté. Gouvernal ramène Yseut au côté de Tristan.Gouvernal paraît se comporter en preux chevalier contrairement à Tristan mais pour finir l’auteur se manifeste pour nous informer de la véracité du récit. Le narrateur apparaît au vers 1265 en séparant « Li conteor » de lui. Il les désigne par une troisième personne et non pas en s’incluant dans ces conteurs. Dans le vers 1265 et 1266 la rime met en confrontation Yvain et vilain, caractérisant le lépreux une fois de plus d’antagoniste et de laid. Même si vilain caractérise « Li conteor » que le narrateur sépare une nouvelle fois de lui, il annonce la véracité de ses propos dans les vers suivant « N’en sevent mie bien