le vol des enfants reuionais
Un matin en novembre, à six ans Jean-Jacques Martial est arrivé à Paris-Orly; il portait les flip-flops et les shorts. Fait partie du programme officiel d’essayer d’augmenter la chute de la population dans le cœur rural de la patrie, il a été déraciné de la garde de sa grand-mère dans Réunion, une île du territoire français. Il n’avait qu’une idée en tête « Je me cultivais et je dénoncerais ce qui m’est arrivé » a dit-il.
Ensuite, Martial a agi de la sort, et pour la première fois Mardi, l’assemble nationale française adressera ce chapitre historique honteux lorsque les membres votent sur une motion d’avouer le rôle d’état dans le vol atroce des enfants réunionnais. De 1963 à 1982, afin de refouler les zones champêtres, 1,615 enfants étaient dépêchés du territoire de l’Océane Indienne où la population avait éprouvé une explosion.
«Ils ont enlevé les enfants en bas âge de six mois» a dit Ericka Bareigts, une des députés du territoire qui sous-tend l'initiative. Les familles pauvres et analphabètes étaient informés de l’envoi forcé de leurs enfants à la France, « et naturellement ils imaginaient Paris et la tour Eiffel,» a dit-elle. « Le gouvernement leur a promis une maison, éducation, et ils lui ont dit que leurs enfants succéderaient. Ils ont dit aux familles que leurs enfants reviendraient pour les vacances. Ce n’étaient que des mensonges. »
Michel Debré, un ancien ministre gaulliste et un député a la Réunion à l’époque, a cultivé l’enlèvement force comme sa trouvaille. En 1963, il a découvert une île qui endure un taux de redondance de 60% et une population tonitruant. « Il a dû la croire d’être une solution logique de la dépopulation trouvé d’ailleurs en France. Peu importe que de la Réunion où il faisait 40 dégrées, il était un trajet de deux jours à la France. Il niait catégoriquement l’aspect humaine et l’aspect de la diversité » a dit-Bareigts.
Le Bureau pour le