Le vieux qui lisait des romans d amour.pdf
(Un viejo que leia novelas de armor)
LUIS SEPULVEDA (1949, Chili)
L’auteur.
Née au Chili, L.Sepùlveda vit actuellement en Allemagne (exil politique). Le « le vieux qui lisait des romans d’amour » fut son premier essais (en 1987/1988) et quelques années après sa première parution, il fut connu du grand public (notamment grâce au prix Relais H et France Culture en 1992). Avant de ce fixer à Hambourg, ce romancier à pas mal « crapahuté » en Amérique Latine, vivant même au contact des Shuars.
Genre :
Ce livre (que j’ai lu une 1ere fois au collège et que j’ai redécouvert dernièrement en faisant mes cartons) est ce que l’on peut considérer comme un roman d’aventure contemporaine.
En voici un court résumé :
L’histoire ce déroule dans un quelconque village de l’Amazonie Chilienne, El Idilio. Un jour, une pirogue Shuars (indien d’amazonie) y débarqua le cadavre d’un mort homme. Malgré les accusations, envers les indiens, des autres habitant du village, un vieil homme, Antonio José Bolivar, compris qu’il ne s’agissait pas des indiens mais d’un félin.
Les principaux protagonistes de l’histoire :
Antonio José Bolivar : après la mort de sa femme, il a vécu longtemps avec les indiens Shuars, dans la forêt Amazonienne. Autre que l’Amazonie, il a une passion pour les romans d’amour (d’où le titre).
La Forêt Amazonienne : omniprésente tout du long de l’histoire, elle est personnalisé part le Vieux comme une femme secrète mais aussi fragile.
La femelle ocelot (gros chat sauvage, plus petit qu'un jaguar) : c’est elle la meurtrière
Le maire de El Idilio : surnommé la « limace » part ses concitoyens. C’est un personnage aussi corrompu qu’abject, plus proche de son stock de bière que de la réalité de l’Amazonie.
Le docteur Rubincondo Loachamin : plus boucher bucco-dentaire que dentiste, c’est aussi un ami du Vieux, lui fournissant à chacun de ces passages sa lecture favorite.
Ma critique du livre :