Compte-rendu de lecture

Le torrent d’Anne Hébert raconte l’histoire du garçon François Perreault qui n’a pas été voulu par sa mère nommée Claudine Perreault. Cette dernière ayant eu François dans une circonstance hors mariage, donc à cette époque en 1950, c’était très mal vu, elle élèvera donc l’enfant seule. Horrible mère, elle mène une terreur dans son lien mère-fils et de la façon dont celle-ci l’éduque. Ces deux demeurent loin de la ville ainsi que la présence d’autres personne par peur qu’il découvre indigne de Claudine. Malgré tout, François a été à l’école comme tous les autres enfants, sa mère voulait qu’il prenne la route pastorale pour s’excuser de son acte avec son fils et trouver le respect des autres. Ensuite, autour de la trentaine de François, sa mère sera tuée par le cheval de son fils qui était reconnu pour ne pas écouter Claudine. Suivant la mort de sa mère, le fils rencontra une fille nommée Amica par pur hasard, mais qui tranquillement fera voir au personnage que sa mère n’est pas réellement morte et refait surface. Il comprendra que cette dernière fut de lui un être vivant dans l’impossible de vivre un amour libre pour le reste de sa vie.

Malgré le compte-rendu apparaissant chargé, le roman est néanmoins accessible dans sa lecture. La lecture est accrocheuse grâce à son sens superficiel qui réside à travers le thème du conflit, un thème que nous connaissons tous. Cette dernière est si captivante, que le roman a été adapté dans un film sorti au cinéma en 2012 par le cinéaste Simon Lavoie. Le roman a été écrit dans les années 1950 ainsi cela se reflète dans la réalité de l’histoire. Seulement par le fait que Claudine Perreault est une mère indigne en ayant son fils dans une situation non mariée. Cette manière de penser qui a été exigé par les religieux de l’époque est une réalité révolue aujourd’hui. Ainsi, ce contexte sociohistorique se compare à l’œuvre À toi pour toujours, ta Marilou par la pression autant religieuse que sociale